Bienvenue

【 すけっち ・ sukecchi 】= croquis , esquisse
【 えっち ・ ecchi 】= vicieux , pervers , indécent
【 おねえさん ・ oneesan 】= soeur aînée  
Le futanari est un terme qui désigne les mangas ou des animes hentai montrant des hermaphrodites [...] Il faut imperativement comprendre qu'il ne s'agit pas de transexuels [...] Rappellons le, le transexualisme exclu l'idée de futanari. Une femme futanari est forcement a la base une femme, qui a vecu comme tel, et qui a connu une vie sexuelle heterosexuelle dans la plupart des cas. Elle a ensuite subi une "transformation" qui l'a doté d'un penis. Le hentai aime a decrire cette decouverte de nouveaux sens.    (wikipédia)

En savoir plus ici
FLL a.k.a ecchi-nee
Jeudi 25 octobre 4 25 /10 /Oct 17:48
HUMEUR : plus d'assedic, pas d'entreprise, next rentrée en decembre,bref tout baigne A012.gif
REGARDE : That 70's show sur nrj12

Alors que je regardais sans intérêt particulier l'une des multiples chaînes disponibles sur le Dav-Call, mon programme avait été interrompu par une communication interne comme me l'avait confirmé par la suite la voix métallique, déformée, de l'écran positionné au-dessus de mon bureau. Écran à partir du quel je pouvais commander à distance presque toute l'électronique dans ma chambre.
    - Acceptez vous cette communication ?
Comme si j'avais le choix ? J'avais beau être un invité dans cette demeure, je n'en restais pas moins redevable - à un point inimaginable - de mon hôte. Depuis le début de ma venue ici, il lui était arrivé assez régulièrement de me convoquer quand le besoin s'en faisait sentir - selon les demandes particulières de certains clients. Et à cette heure tardive, cela ne pouvait qu'être elle.
    - Oui, merci Lucille.
A ma grande surprise, ce n'était pas Stella, mais son assistante. Une grande blonde au corps de rêve mais, avec un visage très sérieux dont j'avais toujours eu un grand mal à me souvenir du nom.
Elle m'avait alors informé avoir été sélectionnée par les soins de sa patronne afin de me tenir compagnie une grande partie de la nuit, car cette dernière avait affaire ailleurs. D'un ordinaire sérieux et limite stricte, elle avait alors rougie jusqu'aux oreilles et avait vite bredouillé avant de mettre fin précipitamment à la communication.
    - J'espère vous satisfaire.

Voilà maintenant plus de 15 minutes qu'elle se trouvait dans ma suite. Très vite nus, elle sur le lit et moi assis dans le fauteuil devant elle, l'admirant. Lorsque je lui avais montré ma valise magique ouverte sur mes genoux elle s'était montrée très intéressée.  Soucieuse de me faire plaisir, elle s'était rapidement exécutée lorsque je lui demandais de choisir le jouet de sa soirée -Brave fille, comme si elle lisait dans mes pensées - et elle s'était alors avancée langoureusement vers moi. Elle regardait mon sexe se gonfler de plaisir devant elle. Maintenant à mes pieds, elle s'était penchée en avant et humait l'odeur acre que je dégageais. Ayant prit mon sexe en main, elle avait commencé à y promener doucement sa si longue et douce langue. Elle avait alors ouvert là bouche et au moment de m'y prendre, avait alors donné un ordre à mon Dav Call.
    - Lucille, canal 21A ... code d'accès SAX58W ... zoom à hauteur de 70 %.
elle me regardait intensément de ses yeux de biche et avait avalé d'un coup mon sexe. Bien que cela faisait déjà un moment que j'étais dur, j'aurais pu parier à cet instant m'avoir senti prendre encore un peu plus d'ampleur - que c'était divin ; doux, chaud et humide. Ma respiration devenait saccadée et bruyante.
     - Code d'accès vérifié. Mlle Anna. Canal 21 A. zoom à 70 %. Autorisation confirmée. Avait fini par lui répondre Lucille après le traitement de l'information.

Avant que je n'ai le temps de réaliser, à l'écran s'affichait Stella et une cliente. A la vue de Stella branlant vigoureusement cette femme et des cris de plaisir de cette dernière, j'avais voulu me relever pour prendre- Anna donc !!!- sur le lit mais c'était sans compter sur le fait que j'avais été entre temps attaché par le poignet droit au pied du fauteuil - tellement pris par les sensations de mon gland que je n'avais même pas remarqué. Je me souviens lui avoir ordonné de me libérer mais, elle avait seulement fait non de la tête et avait prit dans ma valise l'un de mes jouets préférés - celui au diamètre de 5 cm ; petite salope-. S'était hissée sur le lit. Portait le sex toy à la bouche et en me regardant, s'était mi à lui prodiguer les caresses qui m'étaient dues. Cette pute se branlait les jambes bien écartées de sorte à ce que je n'en perde pas une miette, devant moi, suçait en même temps avidement ce bout de plastique avec pour bruit et image de fond Stella baisant sauvagement l'autre petite chienne, pendant que moi je restais frustré dans mon fauteuil.

 Ma colère avait vite fait de disparaitre pour ne laisser place qu'à l'excitation. En face de moi, Anna en était à s'enfoncer son jouet et à chaque fois que celui-ci semblait cogner au fond, elle poussait un long soupir de gorge en se léchant les lèvres, les yeux à moitié clos ; à ma gauche sur l'écran, Stella se branlait en écrasant violemment son sexe sur la bouche de sa cliente tout en continuant de doigter cette dernière - 3 doigts ?! zendruu tout puissant, je ne tiendrais pas plus longtemps. Je me branlais frénétiquement, haletais comme un animal et avait rapproché mon fauteuil du lit. J'avais de plus en plus de mal à rester assis, car il m'aurais été facile de grimper sur le lit pour prendre Anna - mais, cela faisait aussi parti du jeu- malgré les menottes. Cette dernière semblait sur le point de jouir, elle haletait aussi et respirait par petites bouffées ; à chacun des cris d'hystérie de la cliente ou de Stella, elle semblait comme prise de frisson et se branlait de plus en plus vite. Lorsque mon regard s'était porté sur l'écran à nouveau - tant les cris de plaisirs devenaient de plus en plus intenses - j'avais pu voir Stella baisant - quoi dire de plus - vigoureusement en levrette sa cliente - avec un jouet qu'elle m'avait empreinté deux jours plutôt- la faisant se cambrer un maximum en lui tirant les cheveux.  Cette dernière semblait comme possédée, elle hurlait, haletait et invitait son bourreau à aller plus en profondeur. Comme si je n'étais pas déjà assez excité, voilà qu'elle lui flattait l'anus maintenant.

Sur-excité je jetais un regard désespéré à Anna, je lui avais demandé de me libérer - j'étais sur le point de jouir -. Ayant réalisé très rapidement mon état, elle avait vite abandonné son jouet pour accourir à mon secours. Très rapidement, elle avait pris mon sexe en bouche et aspirait mon gland tout en me caressant les couilles. Je lui avais alors pris la tête entre les mains et c'est ainsi, que je lui avais joui abondamment dans la bouche. A la première vague de spasme, elle avait eu un léger mouvement de recul mais s'était rapidement mise à avaler goulument mon sperme - pas une goutte lui avait échappé.

Alors que je récupérais tout doucement mes idées et que mon afflux de sang revenait à la normale, Anna était passée derrière moi - pour me libérer le poignet prisonnier avais-je tout bonnement pensé -. mais une douleur vive dans la nuque m'avait fait tourner la tête dans sa direction ; elle tenait à la main une seringue et avant que je ne lui demande ce que cela contenait, j'avais un élément de réponse. Je bandais de nouveau, mon souffle était presque régulier et la fatigue que je ressentais auparavant avait disparu.  Très vite, elle était venue se placer à califourchon devant moi. Petit sourire en coin en se mordant le coin de la lèvre inférieure. Tout en écartant ses grandes lèvres vers l'extérieur, elle s'était placée à hauteur de mon sexe. S'empalant délicatement sur moi, nous avions alors échangé notre premier baisé et quand mon gland arrivait à bon port, elle avait alors laissé échapper un son - de délivrance. Me chevauchant de plus en plus vite, elle s'était alors accrochée à moi de sorte à garder l'équilibre, mettant ses bras autour de mon cou, dégageant donc ma vision.

Anna me baisait sauvagement et les cris de plaisir continuant sur l'écran, j'avais levé les yeux pour voir ce qui s'y passait et c'est là que mon regard croisait celui de Stella. Et c'est là que cela m'avait frappé.
Elle, de son côté baisait toujours sa bonne femme, mais me souriait à l'écran.
FLL*04

Par ecchi-nee - Voir les 6 commentaires - Publié dans : Les amazones de Stella
Ecrire un commentaire
Vendredi 19 octobre 5 19 /10 /Oct 00:14
HUMEUR : mal au crane d'avoir photoshopé toute la journée A007.gif
ECOUTE : Camille - Baby Carni Bird



Je dois avouer avoir été vraiment surpris que Stella accepte aussi rapidement ma proposition. Elle m'avait alors octroyé bien généreusement une chambre dans le complexe qu'elle dirigeait de main de maître, accompagnée de ses filles. Nous avions même convenu de l'ordre dans lequel je devais être amené à rencontrer en privé chacune d'elles.
C'etait donc tout naturellement que dans la soirée de mon arrivée à l'établissement, la douce et jolie Cherry se présentait à ma porte. Stella avait décidé de commencer par elle, car selon ses dires :
     - cette gamine est une vraie salope. Une travailleuse comme on les aime... et surtout, elle devrait pouvoir te divertir.

Cherry était chaude. 
Dès son entré dans la pièce, j'avais eu envie de la posséder. Il semblait y avoir d'écris "j'aime baiser" sur son front tant elle m'excitait. Tout en elle transpirait le sexe ; de sa façon de parler à la manière dont elle avait de se passer constamment la langue sur la lèvre supérieure.
Je lui avais rapidement demandé de retirer ses vêtements et de se mettre à ses aises.
Je me souviens lui avoir demandé si elle souhaitait quelque chose et elle avait répondu tout simplement :
     - Et vous que souhaitez vous réellement ?

Elle s'était installée sur le fauteuil, les jambes écartées - A la vue de son sexe, une boule s'était nouée dans mon bas ventre, un petit frisson me parcourait le long de la verge et elle durcissait. J'étais resté là à lui contempler l'entre-jambe sans pouvoir émettre un seul son.  Lorsque son majeur l'avait pénétré et avait fait un petit "Ho" de surprise. Elle se caressait le clitoris du bout des doigts et de temps à autre son majeur - et son proche camarade d'ailleurs - la pénétrait ; et à chaque fois, elle émettait son petit son de surprise. C'en était trop, je ne tenais plus, je bandais.
Tout en la regardant - ou plutôt son sexe ouvert, ses lèvres et son clitoris rougi, gonflé d'excitation - je me dévêtais et assis sur le bord du lit en face d'elle, je me caressais aussi à mon tour.
Elle de son côté ; avait aussi de plus en du mal à se contenir. Ses doigts semblaient comme possédés, tant ils lui prodiguaient avec délice le remède au mal dont elle semblait souffrir - Je me sentais soudain une âme de docteur, pour sauver cette malheureuse. De sa main libre, elle avait empoigné un de ses seins, le malaxant avec délice en tirant sur ses mamelons déjà durcis.

Soudain elle se cambrait violemment - mais me regardait toujours dans les yeux, se mordant la lèvre inférieure pour contenir son trop plein de plaisir - elle avait joui et visiblement cela avait été bon.   Lorsqu'elle dégageait de son sexe ses doigts mouillés, je voyais sa cyprine couler encore abondamment sur le fauteuil par petites vagues de spasmes réguliers.

Tout en reprenant son souffle, elle redescendait de son petit nuage en se caressant dans le désordre les seins, les cheveux, le cou, la nuque et les lèvres.
Lorsqu'elle avait remarqué la belle érection que j'avais, elle s'était encore léché les lèvres.

En rampant sur le carrelage froid, elle avançait lentement, très lentement vers moi.
A hauteur de ma verge elle s'était arrêtée, l'avait prise en bouche et alors que sa langue me léchait de part en part, de petits frissons me couraient le long de l'échine.
Jouant de sa langue et de sa bouche avec gourmandise, elle montrait de la résistance à lâcher son jouet lorsque j'ai voulu la lever afin de la posséder. 
Aussi, rapidement je l'avais retourné et prise avec force et passion sur le lit. Dans un mélange de corps, de morsures pour l'un et de griffures pour l'autre, de cris, de râles, nous avions fini par jouir bruyamment lorsque dans un effort de damné je lui avais planté ma verge d'un geste brusque jusqu'au fond. Je me souviens avoir éjaculé abondamment et être ainsi allongé sur son dos de tout mon poids pendant un temps.

Lorsque je revenais à moi, elle se tenait au-dessus, ou plutôt me tenais la verge, recommençait à me sucer et à me branler vigoureusement. Et bientôt, je bandais de nouveau.

Avec un sourire de satisfaction et un autre coup de langue sur ses lèvres, elle s'était ensuite mise debout et m'avait prié de lui tendre les bras. Moi, toujours confortablement allongé, j'avais obéi. Nos mains fermement l'une dans l'autre, une jambe de chaque côté de mon corps, elle commençait à descendre. Et alors qu'elle s'empalait sur ma verge, m'aspirant goulument - quel délice - m'avalant littéralement et conpressant amoureusement mes couilles de ses fesses à chaque fois que ses dernières se rencontraient dans ses mouvements de va-et-vient hystérique ; dans mes divagations, je me souviens avoir pensé être trop vieux et avoir le coeur fragile pour ce genre de choses.
FLL*03
Par FLL - Voir les 6 commentaires - Publié dans : Les amazones de Stella
Ecrire un commentaire
Lundi 15 octobre 1 15 /10 /Oct 22:46
HUMEUR : Tout happy grace à vos commentaire, merci A079.gif
REGARDE : En quête d'action sur W9



 La première fois que j'ai eu affaire à Stella et ses filles, c'était pour ma première mission.
Je devais alors rentrer en contact avec un chef renégat afin de convenir d'un arrangement pour mon employeur. Elle était la seule à pouvoir approcher de près ce fameux chef et avait alors à ses ordres plus de 100 filles, toutes plus belles que dangereuses.

Et ce fameux jour où je l'avais revue, à plus de 10 ans de cela, elle n'avait pas du tout changé.
Alors que je m'extasiais devant cette bouche gourmande, ses seins agaçants par leur air supérieur ; j'étais ramené à la réalité par sa voix grave et sucrée :
     - combien d'années ?
Elle venait de pénétrer dans cette chambre qui avait été si souvent autrefois la nôtre. Je me remémorais les doux souvenirs que m'imposait sa présence dans cette pièce, mon excitation devenait évidente. Les yeux perdus dans mes pensées, je n'avais pas remarqué qu'elle s'était déjà installée à la fenêtre du hublot -naturellement- comme elle aimait à le faire avant.  Elle portait à ses lèvres la tasse en porcelaine chic anglaise, croisait les jambes en les rabattants sur le coté et avalait une petite gorgée en produisant un bruit gênant mais, si charmant venant d'elle.
    - Ma foi, pour moi un peu plus de 10 ans ... mais pour vous ma chère, cela semble remonter à peine à quelques mois tant votre beauté est éclatante. Avais je réussis à lui dire de là où je me tenais.

À mes pieds, sur ma gauche se dressait comme un bouclier ma valise magique. Je l'avais prise et la tenait devant moi de sorte à dissimuler mon trouble - était ce vraiment nécessaire - et m'étais dirigé vers la chaise libre, en face de Stella.
Petit rire crispé.
    - Mensonge ! cela fait 15 ans, 10 mois et 3 jours pour être exacte. Et... quant à ma beauté... et bien ma foi, nous avons tous nos petits secrets.

Elle s'était penchée en avant, les seins en offrande - un chemisier en voilage léger mais, surtout transparent, très bon choix - avait ouvert ce dernier et j'avais pu voir qu'elle n'avait pas de soutien gorge. Mon dieu, quelle merveille cette poitrine.
     - Monstre, m'avait-elle lancé.
Elle avait ce regard. Celui qu'elle réservait aux "Autres" et non à une vieille connaissance.

Tout en continuant à noyer ses yeux dans les miens, elle m'avait alors pris la main, me guidant fermement vers sa poitrine.

Au contact de mes doigts sur sa peau, elle avait émit un petit son. Elle fermait les yeux et s'appuyait contre le hublot, m'attirant toujours à elle que j'avais renversé dans son élan le service à thé. Mais son mamelon devenant dur sous mes doigts m'avait vite fait oublier ce petit accident de parcours.

Je devais finir par me retrouver sur ses genoux, en face d'elle. Je lui malaxais toujours le sein gauche de ma main droite ; et de la gauche j'avais entrepris de lui caresser la nuque. Involontairement - ou pas -, mes caresses devenaient de plus en plus violentes. A tel point que j'avais fini par lui tirer franchement les cheveux et le mamelon en même temps. Elle avait gémi.
J'abandonnais mes prises pour lui remonter - avec un certain empressement - sa jupe sur les fesses. Alors que mes doigts se frayaient un passage entre ses sous vêtements et son sexe, je lui donnais un baiser goulu auquel elle avait répondu avec entrain. Elle s'était cambrée. Mon premier doigt l'avait pénétré. Elle gémissait toujours mais, plus fort, la tête en arrière et les yeux toujours fermés et très vite un deuxième doigt étaient rentré et lui prodiguait visiblement un bien fou. Elle ondulait du bassin pour accompagner les caresses que je lui donnais.

Soudain elle retirait violemment mes doigts en elle - me les nettoyants au passage, suçant ceux qui l'avaient pénétré -. Je ramenais mes mains contre mon corps et l'interrogeais du regard.

Elle m'avait fait lever, s'était mise à genoux devant moi et me lançait un regard rempli - je devais le découvrir par la suite - de vice et de malice. J'avais alors porté à mon tour à mes lèvres mon majeur et mon annuaire et lapais frénétiquement le reste de cyprine et de salive qu'elle m'avait laissé en guise d'amuse bouche. Elle avait alors pris le temps de porter à son tour les mains sur mon sexe et alors qu'elle me caressait d'une main par-dessus mon pantalon, elle avait entreprit de libérer mon sexe de l'autre avec son savoir faire légendaire, elle m'avait alors minaudé en me regardant dans les yeux :
    - Et que me vaut le plaisir ?
FLL *02
Par FLL - Voir les 6 commentaires - Publié dans : Les amazones de Stella
Ecrire un commentaire
Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 02:01
HUMEUR :  yessss, vais pouvoir dessiner des nenettes ... A081.gif
REGARDE :  je ne sais pas trop...




Elle m'avait dit s'appeler Indra ... et je ne devais pas en savoir plus par la suite.

Dès son arrivée, elle s'était empressée de s'installer. Retirant délicatement sa robe en soie -de grand couturier à 1ére vue-, lentement, très lentement, elle s'était mise en place.

Je me souviens lui avoir dit de ne pas avoir peur de moi et elle avait pris un air farouche en dégrafant -limite- violemment son soutien gorge en satin noir, le jetant au loin. Il avait atterri sur ma valise magique, à moitié ouverte d'où dépassait un jouet, qui je l'espérais allait être utilisé plus tard.
    - ai-je l'air d'avoir peur de vous ?
M'avait elle dit avec un léger sourire en coin ... il ne m'en avait pas fallu plus, je ne tenais plus.

Elle se tenait là, devant moi. Prenant la pose, comme je le lui avait demandé. Comme elle avait l'air sage, d'un ange...oui, un ange. Le mien en tout cas dans cette pièce.

Ses mystérieux yeux blues me captivaient et m'hypnotisaient, sa bouche gourmande mettait mes nerfs à dure épreuve et pour couronner le tout, elle avait ce je-ne-sais quoi dans l'attitude qui me rendait fou. Dieux qu'elle était belle...ou peut être pas... mais est-ce que cela importe-t-il reelement?

Elle me demandait si elle pouvait mettre de la musique. Avant ma réponse, elle se dirigeait déjà vers la stéréo murale. Elle avait du caractère avais-je pensé ...Les premiers accords de *No One Is Really Beautiful* commençaient à résonner dans l'air, elle se mit à dodeliner de la tête, battant en même temps la mesure de ses ongles impeccablement vernis en rouge sur ses cuisses parfaitement dorées et interminables. Mon regard s'était alors porté sur ses talons aiguille noirs qu'elle avait gardés.  Lorsqu'elle s'était mise à danser franchement, les notes poivrées de son parfum me parvenaient enfin par vagues de plus en plus fortes.

Mon pouls s'accélérait, mes mains devenaient moites, j'avais dégluti bruyamment et elle l'avait remarqué. Elle me proposait de danser pour moi.

A l'éclairage de cette chambre, chaque ondulation qu'elle faisait produisait comme des décharges électriques tout au long de mon corps. Je ne pouvais quitter du regard ses seins, tant je les trouvais beaux. Ronds et d'aspect ferme, je rêvais de les lui caresser tendrement. Remarquant ce fait, elle avait alors entrepris de se les caresser ...  tout doucement ... de l'extérieur vers l'intérieur ... et cela lui plaisait. Elle me l'avait dit. Afin de retrouver un peu de contenance, j'allumais un de mes cigares et espèrait que mes mains ne trembleraient pas trop, trahissant mon état d'excitation. Mais cela était peine perdue.

Elle avait alors commencé à avancer vers moi, se caressant toujours et de plus en plus sensuellement et avait alors murmuré tout bas en rougissant:
    - Tu vas voir ... c'est encore meilleur que ce que tu imagines.
FLL *01
Par ecchi-nee - Voir les 7 commentaires - Publié dans : Les amazones de Stella
Ecrire un commentaire

Présentation

Catégories

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés