Les amazones de Stella

Jeudi 6 mars 4 06 /03 /Mars 00:12
HUMEUR : Toute naze, dur cette semaine  A011.gif
ECOUTE : Doudou essayé d'installer Spinter Cell 1



Quand Wendy me suçait, j'en devenais fou. De sa bouche gourmande peint en rouge, elle m'aspirait goulument tout en m'empoignant énergiquement à la base du sexe.

Il est vrai que à mon arrivé dans sa suite, lorsqu'elle m'avait accueillie -nue-, je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit si "gourmande" avec son air d'ange sage. Sa peau laiteuse, ses petits seins mignon, sa bouche gourmande, ses long cheveux blonds... tout m'avait de suite plu en elle.

A genoux devant moi, me fixant de ses yeux si hypnotisants, elle s'adonnait avec un plaisir peu dissimulé à sa spécialité -selon les dires de sa matrone - A mesure que mon sexe se gonflait je voyais comme de la gourmandise dans son regard.  Je l'avais levée soudainement et poussée, plus violemment que ce que je n'avais espéré contre la baie vitrée - à un pas de nous. Elle avait atterri gracieusement dans ses rideaux rouges en soie.
Face à moi, elle s'était alors passée lentement la langue sur les lèvres, puis s'était retournée lentement en prenant bien soin de me fixer dans les yeux jusqu'au bout, plaquant ses petits et délicieux seins contre la vitre. Elle avait cambré au maximum son dos, de sorte à me présenter sous son meilleur jour son cul.

Je ne tenais plus et visiblement, elle n'attendait que ça. Je me souviens m'être jeté avec envie sur ce festin qui m'était offert.
A mon tour maintenant d'être à genoux.
Je lui avais prise une fesse entre chaque main et elle avait gémit à mon contact sur sa peau.  J'enfouis mon visage entre ses cuisses et m'étais mis à lécher frénétiquement chaque partielle de peau que pouvait rencontrer ma langue. A chaque coup de langue, elle avait un spasme accompagné d'un gémissement. Ma main droite, avait délaissé sa fesse pour venir en renfort.
Alors que j'approchais timidement mon majeur de sa fente, ce dernier avait été littéralement happé. Je me rendais comptes que la douce Wendy était très excitée, plus que ce que j'imaginais.
Sa cyprine lui coulait sur les cuisse, ma main droite était inondée, de même que mon visage et cela m'excitait encore plus. Je décidais donc d'en finir avec les préliminaire.

Je me redressais et lui plaquais mon sexe contre les fesses. Elle avait alors commencé à onduler sensuellement.
J'imprégnais une pression plus forte et plaquais mon torse contre son dos. Lorsque mes dents étaient venues se planter dans la chair délicate de son cou, elle avait levé violemment le cul, si bien que ma bite se retrouvait lovée entre ce dernier et sa chatte.
Gémissant de plus belle -même grogant si je me souviens bien- elle ondulait maintenant de  façon frénétique. Laissant à chaque passage de son con sur mon sexe de la cyprine qui facilitait peu à peu la pénétration. Je ne bougais pas et la laissais mener la danse.
D'abord mon gland, puis la moitier de ma bite et finalement en moins de 5 ondulations - ou plutôt va-et-viens - j'étais complètement en elle.

sous le coup du plaisir et de la surprise, nous avions grogné en même temps. Elle avait alors fait glisser son torse sur ses rideaux de sorte à pouvoir bien sortir son cul, s'ouvrir et m'accueillir en elle. Cette opération avait été réalisée rapidement, mais avec délicatesse, car je ne voulais pas me retirer d'elle. J'avais donc dû me reculer d'un bon pas de sorte à ce qu'elle puisse avoir le dos plus ou moins horizontale à moi tout en ayant le visage toujours appuyé sur ses voilages.  Une fois en position, je l'avais attrapé par les hanches et la baisais énergiquement.
A chaque fois que je lui tapais au fond et que mes couilles chatouillaient sa fente, elle gémissait et cela m'excitait encore plus.

Je l'avais labourée ainsi pendant de longues minutes.
La pièce semblait tourner tant le plaisir me montait à la tête, mais il était évident pour elle et pour moi que nous n'en avions pas fini. J'avais profité que ses gémissements devenaient de plus en plus bruyants et de plus en plus hystérique pour lui caresser en même temps le clitoris.
    - Ohh oui, baise moi, baise moi ......... baise moi plus fort....baise moi...humm .... ohh oui ...baise moi.
 C'était donc sous les encouragements de ses "baise moi" que je l'attrapais par les poignets et les ramenait vers moi; avançais encore plus en avant mon bassin de sorte à la pénétrer plus profond que j'ai joui bruyant, par saccades, en haletant et en râlant comme une bête.

Lorsque plus tard dans la soirée -après 2 autres round, moins éprouvants- elle me raccompagnait à la porte, j'avais un léger vertige et réalisais que son rouge à lèvre était toujours intact après tout ça. Je me souviens même n'avoir pas pu aller voir d'autre "filles de Stella" pendant 4 jours tant les marques laissées par ses lèvres sur ma peau étaient difficiles à faire partir.
FLL*06

Par ecchi-nee - Publié dans : Les amazones de Stella - Communauté : BlOgS De JeUnEs CoKiNeS!!!
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Vendredi 23 novembre 5 23 /11 /Nov 16:26
HUMEUR :  parce qu'il y a une justice après tout ... j'ai 1 entreprise! youhou A019.gif
ECOUTE :  "Touche moi" Jenifer_Lunatique

Me revoilà les petits loup ... XxX



Lorsque j'avais reçu l'invitation à me rendre rapidement auprès de Stella, il était encore tôt dans l'après-midi.

A mon entré dans son bureau, j'avais été frappé par la beauté de la jeune femme se tenant sur la gauche de Stella - cette dernière me souriait comme si l'on se connaissait intimement.
Stella, s'était alors levée, contournant le bureau et se plaçant fasse à moi, les jambes croisées et avec un certain mécontentement, m'avait lancé :
    - Et bien, il semblerait que ta réputation t’est devancée cher ami. Cette jeune femme que tu vois là, s'appelle Tara. Tu iras avec elle aujourd'hui.
A mon air étonné, elle avait alors roulé des yeux. Je regardais tour à tour, la fameuse Tara et Stella. Non pas que je faisais mon difficile ou qu'elle me déplaisait, mais il m'avait semblé avoir rendez-vous aujourd'hui avec une certaine Lally.
     - Oh assez ! Ne prend pas cet air ahurie. Figure toi que cela ne m'arrange guère non plus. Mais bon... c'est son anniversaire aujourd'hui et elle t'a souhaitée comme cadeau...
    - Je... je suis flatté, mais je ne ... avais-je finalement réussi à dire avant de me faire couper la parole par Stella. Son regard était soudain autoritaire.
    - Je ne te le demande pas comme un service ... je n'ai pas le choix. Elle est la chose de Anna - m'annonçait elle en montrant Tara du doigt sans lui accorder un seul regard - et je suis bien incapable de lui refuser quoi que ce soit. Ces deux belles garces le savent et en abusent. Puis, tu n'es pas si perdant que ça, au change. Cette petite est une vraie salope qui en redemande toujours. Bon allé hors de ma vue. Je vous libère la suite "Holiday" pour 3 heures et tachez de bien en profiter.

 Dès notre entré dans la suite, la jeune Tara m'avait demandé de bien vouloir retirer mes vêtements. Elle souhaitait - selon ses dires - profiter au maximum de ce moment. J'étais séduit.
Très vite, elle s'était mise nue aussi et fasse à fasse se frottait à moi.
Pendant qu'on échangeait un tendre et sucré baisé, elle commençait à me caresser. D'abord, timidement du bout des doigts, puis franchement. Je me sentais durcir rapidement ; mon pouls s'accélérait. Elle, de son côté, poussait de petits gémissements, à chaque fois que mes doigts s'attardaient au bas de ses fesses. Se cambrant de sorte à ce que mes doigts aillent plus en profondeur dans leur exploration.

Elle s'était ensuite retournée, une fesse placée de chaque côté de mon sexe, le dos bien cambré et une main dans mes cheveux, elle ondulait littéralement contre moi.
Elle haletait bruyamment, de quoi m'exciter encore plus.
En un coup de cul, elle m'avait poussé. Je perdais l'équilibre et manquais de tomber, mais visiblement elle avait pensé à tout, j'avais atterrie brutalement sur une chaise qui se trouvait derrière moi.
Elle semblait vouloir dominer la situation - je la laissais donc faire, au début-.

Sagement assis, je la regardais s'exhiber pour mon seul plaisir. Alors que je me branlais tout doucement - toujours sur ma chaise - elle, c'était penchée en avant et m'offrait une vision divine.
De ses doigts gracieux, elle se caressait le sexe. Elle mouillait abondamment. Prenant un sein en main, elle le portait en bouche et se le léchait. Les petits bruits de sucions qu'elle produisait ne m'excitait que plus.

Elle se rapprochait de moi, toujours penchée en avant me regardant toujours intensément de biais dans les yeux.
En tendant le bras gauche, je lui avais alpagué une fesse. Je la lui malaxais tendrement, la fessant de temps à autre. Je l'attirais bientôt à moi, elle se laissait docilement faire.

Une jambe de chaque côté des miennes, ses fesses se trouvaient maintenant à hauteur de ma bouche. Je les prenais en pleine main et collait violemment son cul à ma bouche. Alors que ma langue explorait chaque partielle de son intimité, elle poussait de petits gémissements d'excitation. Dans cette position, elle avait les mains libres ; et par une souplesse que je lui découvrais à ce moment, me branlait énergiquement avec un doigté de pro, faisait grossir à vue d'oeil ma bite qu'elle avait soigneusement humidifiée auparavant de sa salive chaude et douce.

Je me souviens avoir à ce moment failli jouir. Je lui avais alors rentré mes ongles dans la peau violemment - elle avait poussé un cri, mais pas de douleur semble t-il ; dans la confusion de l'extase, je lui avais enfoncé mon index dans le sexe, elle se tortillait et gémissait de plus bel. La main gauche sur la fesse, l'index de la droite dans son vagin et très vite ma langue essayait de se frayer un chemin. Ses cris devenaient de plus en plus fort. Elle, si silencieuse depuis le début semblait comme possédé ; me vociférait des obscénités.  Je comprenais donc qu'elle était sur le point de jouir et arrêtais net mes investigations.
    - ohh non ... encore ... encore ... plus fort ... c'est bon ... hummm... prend moi, prend moi vite !!

Elle haletait à son tour et tournant la tête dans ma direction, me questionnait du regard. Elle semblait me supplier. Alors seulement, je l'avais attrapé de nouveau à deux mains par les fesses, les ramenant à hauteur de ma verge. Je l'attirais contre moi en lui écartant au maximum les cuisses de sorte à pouvoir la pénétrer aisément. Au contact de mon sexe au sien, elle avait retenu sa respiration. Je prenais tout mon temps pour entrer en elle. Mes mains maintenant sur chaque sein, je lui torturais les mamelons.

Alors, tout doucement je faisais aller mon gland sur ses petites lèvres. Elle semblait trépigner d'impatience. Essayant de m'avaler plus en profondeur, tant bien que, j'avais du vite la maintenir par les hanches de sorte à la soulever un peu. Ce petit manège n'avait duré que peu de temps en réalité, mais nous semblait à tout deux durer une éternité. Sa cyprine me coulait de tout le long, facilitant à chaque fois un peu plus la pénétration. Malgré le fait que mon sexe ne la pénétrait que jusqu'au gland, cela me procurait énormément de plaisir et à elle aussi visiblement, car elle avait elle-même accordé ses va-et-vient aux miens de sorte à optimiser notre position.

Je me souviens l'avoir senti se stabiliser et se cambrer violemment par la suite. Elle me maintenait les mains et je pouvais sentir trembler ses jambes. C'est ainsi qu'elle avait jouit pour la première fois.
Alors que son corps était encore sous le choc de son orgasme, j'avais alors entrepris de l'empaler. Profitant du fait que mes mains se trouvaient toujours sur ces hanches, je la maintenant fermement pendant que de mon sexe je la pénétrais d'un coup.

Sous l'effet de la surprise elle avait hoqueté.
Lorsque ses fesses étaient venues s'écraser contre mon pubis, j'avais été inondé de sa mouille. Avant de recommencer à bouger, j'avais bien pris soin de lui ramener les bras en arrière de sorte à la maintenir pas les poignets de ma main gauche et de la droite je la forçais à se pencher en avant en la poussant légèrement dans le dos afin de pouvoir avoir une bonne stabilité.
Vigoureusement, avec toute l'énergie que j'avais gardé à la laisser faire, je la baisais.

    - Ohh oui, ouiii, plus fort ... hummm ... ouiiiiiiiiiii.
Sous l'invitation de ses cris de plaisir, j'avais accéléré la cadence. La maintenant toujours fermement, j'allais et venais dans une confusion de râle, de cris et de bruit de tout genre.

Ensuite, très rapidement, elle avait joui une deuxième fois et plus bruyamment que la fois précédente. Et alors que je relâchais l'emprise sur ses poignets, que son corps se détendait après avoir tant subi, je l'attirais doucement à moi, de sorte à complètement collé son dos à mon torse. J'étais toujours en elle. Je pouvais sentir son vagin se contracter sur ma verge et comme je n'avais pas encore joui et que j'en étais loin encore, je lui remontais les jambes et les pliais de sorte à pouvoir la tenir fermement plaquée contre moi. Quand elle avait compris que je n'en avais pas encore fini avec elle, elle avait alors tourné la tête sur le côté et m'avait regardé droit dans les yeux. De son regard si envoûtant - et reconnaissant ? -, s'était pourléchée les lèvres et avait fermé les yeux. Elle attendait, en redemandait, sacrée bonne femme. 
La maintenant toujours fermement, j'avais alors recommencé à la labourer. Et alors que mon plaisir - et le sien - devenait de plus en plus intense je me souviens lui avoir murmuré à l'oreille.
    - Joyeux anniversaire Tara.
FLL * 05
Par ecchi-nee - Publié dans : Les amazones de Stella
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Jeudi 25 octobre 4 25 /10 /Oct 17:48
HUMEUR : plus d'assedic, pas d'entreprise, next rentrée en decembre,bref tout baigne A012.gif
REGARDE : That 70's show sur nrj12

Alors que je regardais sans intérêt particulier l'une des multiples chaînes disponibles sur le Dav-Call, mon programme avait été interrompu par une communication interne comme me l'avait confirmé par la suite la voix métallique, déformée, de l'écran positionné au-dessus de mon bureau. Écran à partir du quel je pouvais commander à distance presque toute l'électronique dans ma chambre.
    - Acceptez vous cette communication ?
Comme si j'avais le choix ? J'avais beau être un invité dans cette demeure, je n'en restais pas moins redevable - à un point inimaginable - de mon hôte. Depuis le début de ma venue ici, il lui était arrivé assez régulièrement de me convoquer quand le besoin s'en faisait sentir - selon les demandes particulières de certains clients. Et à cette heure tardive, cela ne pouvait qu'être elle.
    - Oui, merci Lucille.
A ma grande surprise, ce n'était pas Stella, mais son assistante. Une grande blonde au corps de rêve mais, avec un visage très sérieux dont j'avais toujours eu un grand mal à me souvenir du nom.
Elle m'avait alors informé avoir été sélectionnée par les soins de sa patronne afin de me tenir compagnie une grande partie de la nuit, car cette dernière avait affaire ailleurs. D'un ordinaire sérieux et limite stricte, elle avait alors rougie jusqu'aux oreilles et avait vite bredouillé avant de mettre fin précipitamment à la communication.
    - J'espère vous satisfaire.

Voilà maintenant plus de 15 minutes qu'elle se trouvait dans ma suite. Très vite nus, elle sur le lit et moi assis dans le fauteuil devant elle, l'admirant. Lorsque je lui avais montré ma valise magique ouverte sur mes genoux elle s'était montrée très intéressée.  Soucieuse de me faire plaisir, elle s'était rapidement exécutée lorsque je lui demandais de choisir le jouet de sa soirée -Brave fille, comme si elle lisait dans mes pensées - et elle s'était alors avancée langoureusement vers moi. Elle regardait mon sexe se gonfler de plaisir devant elle. Maintenant à mes pieds, elle s'était penchée en avant et humait l'odeur acre que je dégageais. Ayant prit mon sexe en main, elle avait commencé à y promener doucement sa si longue et douce langue. Elle avait alors ouvert là bouche et au moment de m'y prendre, avait alors donné un ordre à mon Dav Call.
    - Lucille, canal 21A ... code d'accès SAX58W ... zoom à hauteur de 70 %.
elle me regardait intensément de ses yeux de biche et avait avalé d'un coup mon sexe. Bien que cela faisait déjà un moment que j'étais dur, j'aurais pu parier à cet instant m'avoir senti prendre encore un peu plus d'ampleur - que c'était divin ; doux, chaud et humide. Ma respiration devenait saccadée et bruyante.
     - Code d'accès vérifié. Mlle Anna. Canal 21 A. zoom à 70 %. Autorisation confirmée. Avait fini par lui répondre Lucille après le traitement de l'information.

Avant que je n'ai le temps de réaliser, à l'écran s'affichait Stella et une cliente. A la vue de Stella branlant vigoureusement cette femme et des cris de plaisir de cette dernière, j'avais voulu me relever pour prendre- Anna donc !!!- sur le lit mais c'était sans compter sur le fait que j'avais été entre temps attaché par le poignet droit au pied du fauteuil - tellement pris par les sensations de mon gland que je n'avais même pas remarqué. Je me souviens lui avoir ordonné de me libérer mais, elle avait seulement fait non de la tête et avait prit dans ma valise l'un de mes jouets préférés - celui au diamètre de 5 cm ; petite salope-. S'était hissée sur le lit. Portait le sex toy à la bouche et en me regardant, s'était mi à lui prodiguer les caresses qui m'étaient dues. Cette pute se branlait les jambes bien écartées de sorte à ce que je n'en perde pas une miette, devant moi, suçait en même temps avidement ce bout de plastique avec pour bruit et image de fond Stella baisant sauvagement l'autre petite chienne, pendant que moi je restais frustré dans mon fauteuil.

 Ma colère avait vite fait de disparaitre pour ne laisser place qu'à l'excitation. En face de moi, Anna en était à s'enfoncer son jouet et à chaque fois que celui-ci semblait cogner au fond, elle poussait un long soupir de gorge en se léchant les lèvres, les yeux à moitié clos ; à ma gauche sur l'écran, Stella se branlait en écrasant violemment son sexe sur la bouche de sa cliente tout en continuant de doigter cette dernière - 3 doigts ?! zendruu tout puissant, je ne tiendrais pas plus longtemps. Je me branlais frénétiquement, haletais comme un animal et avait rapproché mon fauteuil du lit. J'avais de plus en plus de mal à rester assis, car il m'aurais été facile de grimper sur le lit pour prendre Anna - mais, cela faisait aussi parti du jeu- malgré les menottes. Cette dernière semblait sur le point de jouir, elle haletait aussi et respirait par petites bouffées ; à chacun des cris d'hystérie de la cliente ou de Stella, elle semblait comme prise de frisson et se branlait de plus en plus vite. Lorsque mon regard s'était porté sur l'écran à nouveau - tant les cris de plaisirs devenaient de plus en plus intenses - j'avais pu voir Stella baisant - quoi dire de plus - vigoureusement en levrette sa cliente - avec un jouet qu'elle m'avait empreinté deux jours plutôt- la faisant se cambrer un maximum en lui tirant les cheveux.  Cette dernière semblait comme possédée, elle hurlait, haletait et invitait son bourreau à aller plus en profondeur. Comme si je n'étais pas déjà assez excité, voilà qu'elle lui flattait l'anus maintenant.

Sur-excité je jetais un regard désespéré à Anna, je lui avais demandé de me libérer - j'étais sur le point de jouir -. Ayant réalisé très rapidement mon état, elle avait vite abandonné son jouet pour accourir à mon secours. Très rapidement, elle avait pris mon sexe en bouche et aspirait mon gland tout en me caressant les couilles. Je lui avais alors pris la tête entre les mains et c'est ainsi, que je lui avais joui abondamment dans la bouche. A la première vague de spasme, elle avait eu un léger mouvement de recul mais s'était rapidement mise à avaler goulument mon sperme - pas une goutte lui avait échappé.

Alors que je récupérais tout doucement mes idées et que mon afflux de sang revenait à la normale, Anna était passée derrière moi - pour me libérer le poignet prisonnier avais-je tout bonnement pensé -. mais une douleur vive dans la nuque m'avait fait tourner la tête dans sa direction ; elle tenait à la main une seringue et avant que je ne lui demande ce que cela contenait, j'avais un élément de réponse. Je bandais de nouveau, mon souffle était presque régulier et la fatigue que je ressentais auparavant avait disparu.  Très vite, elle était venue se placer à califourchon devant moi. Petit sourire en coin en se mordant le coin de la lèvre inférieure. Tout en écartant ses grandes lèvres vers l'extérieur, elle s'était placée à hauteur de mon sexe. S'empalant délicatement sur moi, nous avions alors échangé notre premier baisé et quand mon gland arrivait à bon port, elle avait alors laissé échapper un son - de délivrance. Me chevauchant de plus en plus vite, elle s'était alors accrochée à moi de sorte à garder l'équilibre, mettant ses bras autour de mon cou, dégageant donc ma vision.

Anna me baisait sauvagement et les cris de plaisir continuant sur l'écran, j'avais levé les yeux pour voir ce qui s'y passait et c'est là que mon regard croisait celui de Stella. Et c'est là que cela m'avait frappé.
Elle, de son côté baisait toujours sa bonne femme, mais me souriait à l'écran.
FLL*04

Par ecchi-nee - Publié dans : Les amazones de Stella
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Vendredi 19 octobre 5 19 /10 /Oct 00:14
HUMEUR : mal au crane d'avoir photoshopé toute la journée A007.gif
ECOUTE : Camille - Baby Carni Bird



Je dois avouer avoir été vraiment surpris que Stella accepte aussi rapidement ma proposition. Elle m'avait alors octroyé bien généreusement une chambre dans le complexe qu'elle dirigeait de main de maître, accompagnée de ses filles. Nous avions même convenu de l'ordre dans lequel je devais être amené à rencontrer en privé chacune d'elles.
C'etait donc tout naturellement que dans la soirée de mon arrivée à l'établissement, la douce et jolie Cherry se présentait à ma porte. Stella avait décidé de commencer par elle, car selon ses dires :
     - cette gamine est une vraie salope. Une travailleuse comme on les aime... et surtout, elle devrait pouvoir te divertir.

Cherry était chaude. 
Dès son entré dans la pièce, j'avais eu envie de la posséder. Il semblait y avoir d'écris "j'aime baiser" sur son front tant elle m'excitait. Tout en elle transpirait le sexe ; de sa façon de parler à la manière dont elle avait de se passer constamment la langue sur la lèvre supérieure.
Je lui avais rapidement demandé de retirer ses vêtements et de se mettre à ses aises.
Je me souviens lui avoir demandé si elle souhaitait quelque chose et elle avait répondu tout simplement :
     - Et vous que souhaitez vous réellement ?

Elle s'était installée sur le fauteuil, les jambes écartées - A la vue de son sexe, une boule s'était nouée dans mon bas ventre, un petit frisson me parcourait le long de la verge et elle durcissait. J'étais resté là à lui contempler l'entre-jambe sans pouvoir émettre un seul son.  Lorsque son majeur l'avait pénétré et avait fait un petit "Ho" de surprise. Elle se caressait le clitoris du bout des doigts et de temps à autre son majeur - et son proche camarade d'ailleurs - la pénétrait ; et à chaque fois, elle émettait son petit son de surprise. C'en était trop, je ne tenais plus, je bandais.
Tout en la regardant - ou plutôt son sexe ouvert, ses lèvres et son clitoris rougi, gonflé d'excitation - je me dévêtais et assis sur le bord du lit en face d'elle, je me caressais aussi à mon tour.
Elle de son côté ; avait aussi de plus en du mal à se contenir. Ses doigts semblaient comme possédés, tant ils lui prodiguaient avec délice le remède au mal dont elle semblait souffrir - Je me sentais soudain une âme de docteur, pour sauver cette malheureuse. De sa main libre, elle avait empoigné un de ses seins, le malaxant avec délice en tirant sur ses mamelons déjà durcis.

Soudain elle se cambrait violemment - mais me regardait toujours dans les yeux, se mordant la lèvre inférieure pour contenir son trop plein de plaisir - elle avait joui et visiblement cela avait été bon.   Lorsqu'elle dégageait de son sexe ses doigts mouillés, je voyais sa cyprine couler encore abondamment sur le fauteuil par petites vagues de spasmes réguliers.

Tout en reprenant son souffle, elle redescendait de son petit nuage en se caressant dans le désordre les seins, les cheveux, le cou, la nuque et les lèvres.
Lorsqu'elle avait remarqué la belle érection que j'avais, elle s'était encore léché les lèvres.

En rampant sur le carrelage froid, elle avançait lentement, très lentement vers moi.
A hauteur de ma verge elle s'était arrêtée, l'avait prise en bouche et alors que sa langue me léchait de part en part, de petits frissons me couraient le long de l'échine.
Jouant de sa langue et de sa bouche avec gourmandise, elle montrait de la résistance à lâcher son jouet lorsque j'ai voulu la lever afin de la posséder. 
Aussi, rapidement je l'avais retourné et prise avec force et passion sur le lit. Dans un mélange de corps, de morsures pour l'un et de griffures pour l'autre, de cris, de râles, nous avions fini par jouir bruyamment lorsque dans un effort de damné je lui avais planté ma verge d'un geste brusque jusqu'au fond. Je me souviens avoir éjaculé abondamment et être ainsi allongé sur son dos de tout mon poids pendant un temps.

Lorsque je revenais à moi, elle se tenait au-dessus, ou plutôt me tenais la verge, recommençait à me sucer et à me branler vigoureusement. Et bientôt, je bandais de nouveau.

Avec un sourire de satisfaction et un autre coup de langue sur ses lèvres, elle s'était ensuite mise debout et m'avait prié de lui tendre les bras. Moi, toujours confortablement allongé, j'avais obéi. Nos mains fermement l'une dans l'autre, une jambe de chaque côté de mon corps, elle commençait à descendre. Et alors qu'elle s'empalait sur ma verge, m'aspirant goulument - quel délice - m'avalant littéralement et conpressant amoureusement mes couilles de ses fesses à chaque fois que ses dernières se rencontraient dans ses mouvements de va-et-vient hystérique ; dans mes divagations, je me souviens avoir pensé être trop vieux et avoir le coeur fragile pour ce genre de choses.
FLL*03
Par FLL - Publié dans : Les amazones de Stella
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Lundi 15 octobre 1 15 /10 /Oct 22:46
HUMEUR : Tout happy grace à vos commentaire, merci A079.gif
REGARDE : En quête d'action sur W9



 La première fois que j'ai eu affaire à Stella et ses filles, c'était pour ma première mission.
Je devais alors rentrer en contact avec un chef renégat afin de convenir d'un arrangement pour mon employeur. Elle était la seule à pouvoir approcher de près ce fameux chef et avait alors à ses ordres plus de 100 filles, toutes plus belles que dangereuses.

Et ce fameux jour où je l'avais revue, à plus de 10 ans de cela, elle n'avait pas du tout changé.
Alors que je m'extasiais devant cette bouche gourmande, ses seins agaçants par leur air supérieur ; j'étais ramené à la réalité par sa voix grave et sucrée :
     - combien d'années ?
Elle venait de pénétrer dans cette chambre qui avait été si souvent autrefois la nôtre. Je me remémorais les doux souvenirs que m'imposait sa présence dans cette pièce, mon excitation devenait évidente. Les yeux perdus dans mes pensées, je n'avais pas remarqué qu'elle s'était déjà installée à la fenêtre du hublot -naturellement- comme elle aimait à le faire avant.  Elle portait à ses lèvres la tasse en porcelaine chic anglaise, croisait les jambes en les rabattants sur le coté et avalait une petite gorgée en produisant un bruit gênant mais, si charmant venant d'elle.
    - Ma foi, pour moi un peu plus de 10 ans ... mais pour vous ma chère, cela semble remonter à peine à quelques mois tant votre beauté est éclatante. Avais je réussis à lui dire de là où je me tenais.

À mes pieds, sur ma gauche se dressait comme un bouclier ma valise magique. Je l'avais prise et la tenait devant moi de sorte à dissimuler mon trouble - était ce vraiment nécessaire - et m'étais dirigé vers la chaise libre, en face de Stella.
Petit rire crispé.
    - Mensonge ! cela fait 15 ans, 10 mois et 3 jours pour être exacte. Et... quant à ma beauté... et bien ma foi, nous avons tous nos petits secrets.

Elle s'était penchée en avant, les seins en offrande - un chemisier en voilage léger mais, surtout transparent, très bon choix - avait ouvert ce dernier et j'avais pu voir qu'elle n'avait pas de soutien gorge. Mon dieu, quelle merveille cette poitrine.
     - Monstre, m'avait-elle lancé.
Elle avait ce regard. Celui qu'elle réservait aux "Autres" et non à une vieille connaissance.

Tout en continuant à noyer ses yeux dans les miens, elle m'avait alors pris la main, me guidant fermement vers sa poitrine.

Au contact de mes doigts sur sa peau, elle avait émit un petit son. Elle fermait les yeux et s'appuyait contre le hublot, m'attirant toujours à elle que j'avais renversé dans son élan le service à thé. Mais son mamelon devenant dur sous mes doigts m'avait vite fait oublier ce petit accident de parcours.

Je devais finir par me retrouver sur ses genoux, en face d'elle. Je lui malaxais toujours le sein gauche de ma main droite ; et de la gauche j'avais entrepris de lui caresser la nuque. Involontairement - ou pas -, mes caresses devenaient de plus en plus violentes. A tel point que j'avais fini par lui tirer franchement les cheveux et le mamelon en même temps. Elle avait gémi.
J'abandonnais mes prises pour lui remonter - avec un certain empressement - sa jupe sur les fesses. Alors que mes doigts se frayaient un passage entre ses sous vêtements et son sexe, je lui donnais un baiser goulu auquel elle avait répondu avec entrain. Elle s'était cambrée. Mon premier doigt l'avait pénétré. Elle gémissait toujours mais, plus fort, la tête en arrière et les yeux toujours fermés et très vite un deuxième doigt étaient rentré et lui prodiguait visiblement un bien fou. Elle ondulait du bassin pour accompagner les caresses que je lui donnais.

Soudain elle retirait violemment mes doigts en elle - me les nettoyants au passage, suçant ceux qui l'avaient pénétré -. Je ramenais mes mains contre mon corps et l'interrogeais du regard.

Elle m'avait fait lever, s'était mise à genoux devant moi et me lançait un regard rempli - je devais le découvrir par la suite - de vice et de malice. J'avais alors porté à mon tour à mes lèvres mon majeur et mon annuaire et lapais frénétiquement le reste de cyprine et de salive qu'elle m'avait laissé en guise d'amuse bouche. Elle avait alors pris le temps de porter à son tour les mains sur mon sexe et alors qu'elle me caressait d'une main par-dessus mon pantalon, elle avait entreprit de libérer mon sexe de l'autre avec son savoir faire légendaire, elle m'avait alors minaudé en me regardant dans les yeux :
    - Et que me vaut le plaisir ?
FLL *02
Par FLL - Publié dans : Les amazones de Stella
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Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 02:01
HUMEUR :  yessss, vais pouvoir dessiner des nenettes ... A081.gif
REGARDE :  je ne sais pas trop...




Elle m'avait dit s'appeler Indra ... et je ne devais pas en savoir plus par la suite.

Dès son arrivée, elle s'était empressée de s'installer. Retirant délicatement sa robe en soie -de grand couturier à 1ére vue-, lentement, très lentement, elle s'était mise en place.

Je me souviens lui avoir dit de ne pas avoir peur de moi et elle avait pris un air farouche en dégrafant -limite- violemment son soutien gorge en satin noir, le jetant au loin. Il avait atterri sur ma valise magique, à moitié ouverte d'où dépassait un jouet, qui je l'espérais allait être utilisé plus tard.
    - ai-je l'air d'avoir peur de vous ?
M'avait elle dit avec un léger sourire en coin ... il ne m'en avait pas fallu plus, je ne tenais plus.

Elle se tenait là, devant moi. Prenant la pose, comme je le lui avait demandé. Comme elle avait l'air sage, d'un ange...oui, un ange. Le mien en tout cas dans cette pièce.

Ses mystérieux yeux blues me captivaient et m'hypnotisaient, sa bouche gourmande mettait mes nerfs à dure épreuve et pour couronner le tout, elle avait ce je-ne-sais quoi dans l'attitude qui me rendait fou. Dieux qu'elle était belle...ou peut être pas... mais est-ce que cela importe-t-il reelement?

Elle me demandait si elle pouvait mettre de la musique. Avant ma réponse, elle se dirigeait déjà vers la stéréo murale. Elle avait du caractère avais-je pensé ...Les premiers accords de *No One Is Really Beautiful* commençaient à résonner dans l'air, elle se mit à dodeliner de la tête, battant en même temps la mesure de ses ongles impeccablement vernis en rouge sur ses cuisses parfaitement dorées et interminables. Mon regard s'était alors porté sur ses talons aiguille noirs qu'elle avait gardés.  Lorsqu'elle s'était mise à danser franchement, les notes poivrées de son parfum me parvenaient enfin par vagues de plus en plus fortes.

Mon pouls s'accélérait, mes mains devenaient moites, j'avais dégluti bruyamment et elle l'avait remarqué. Elle me proposait de danser pour moi.

A l'éclairage de cette chambre, chaque ondulation qu'elle faisait produisait comme des décharges électriques tout au long de mon corps. Je ne pouvais quitter du regard ses seins, tant je les trouvais beaux. Ronds et d'aspect ferme, je rêvais de les lui caresser tendrement. Remarquant ce fait, elle avait alors entrepris de se les caresser ...  tout doucement ... de l'extérieur vers l'intérieur ... et cela lui plaisait. Elle me l'avait dit. Afin de retrouver un peu de contenance, j'allumais un de mes cigares et espèrait que mes mains ne trembleraient pas trop, trahissant mon état d'excitation. Mais cela était peine perdue.

Elle avait alors commencé à avancer vers moi, se caressant toujours et de plus en plus sensuellement et avait alors murmuré tout bas en rougissant:
    - Tu vas voir ... c'est encore meilleur que ce que tu imagines.
FLL *01
Par ecchi-nee - Publié dans : Les amazones de Stella
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