Vendredi 19 octobre
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HUMEUR : mal au crane d'avoir photoshopé toute la journée
ECOUTE : Camille - Baby Carni Bird
Je dois avouer avoir été vraiment surpris que Stella accepte aussi rapidement ma proposition. Elle m'avait alors octroyé bien généreusement une chambre dans le complexe qu'elle
dirigeait de main de maître, accompagnée de ses filles. Nous avions même convenu de l'ordre dans lequel je devais être amené à rencontrer en privé chacune d'elles.
C'etait donc tout naturellement que dans la soirée de mon arrivée à l'établissement, la douce et jolie Cherry se présentait à ma porte. Stella avait décidé de commencer par elle, car selon
ses dires :
- cette gamine est une vraie salope. Une travailleuse comme on les aime... et surtout, elle devrait pouvoir te divertir.
Cherry était chaude.
Dès son entré dans la pièce, j'avais eu envie de la posséder. Il semblait y avoir d'écris "j'aime baiser" sur son front tant elle m'excitait. Tout en elle transpirait le sexe ; de sa façon de
parler à la manière dont elle avait de se passer constamment la langue sur la lèvre supérieure.
Je lui avais rapidement demandé de retirer ses vêtements et de se mettre à ses aises.
Je me souviens lui avoir demandé si elle souhaitait quelque chose et elle avait répondu tout simplement :
- Et vous que souhaitez vous réellement ?
Elle s'était installée sur le fauteuil, les jambes écartées - A la vue de son sexe, une boule s'était nouée dans mon bas ventre, un petit frisson me parcourait le long de la verge et elle
durcissait. J'étais resté là à lui contempler l'entre-jambe sans pouvoir émettre un seul son. Lorsque son majeur l'avait pénétré et avait fait un petit "Ho" de surprise. Elle se
caressait le clitoris du bout des doigts et de temps à autre son majeur - et son proche camarade d'ailleurs - la pénétrait ; et à chaque fois, elle émettait son petit son de surprise. C'en
était trop, je ne tenais plus, je bandais.
Tout en la regardant - ou plutôt son sexe ouvert, ses lèvres et son clitoris rougi, gonflé d'excitation - je me dévêtais et assis sur le bord du lit en face d'elle, je me caressais aussi à
mon tour.
Elle de son côté ; avait aussi de plus en du mal à se contenir. Ses doigts semblaient comme possédés, tant ils lui prodiguaient avec délice le remède au mal dont elle semblait souffrir - Je
me sentais soudain une âme de docteur, pour sauver cette malheureuse. De sa main libre, elle avait empoigné un de ses seins, le malaxant avec délice en tirant sur ses mamelons déjà
durcis.
Soudain elle se cambrait violemment - mais me regardait toujours dans les yeux, se mordant la lèvre inférieure pour contenir son trop plein de plaisir - elle avait joui et visiblement cela
avait été bon. Lorsqu'elle dégageait de son sexe ses doigts mouillés, je voyais sa cyprine couler encore abondamment sur le fauteuil par petites vagues de spasmes réguliers.
Tout en reprenant son souffle, elle redescendait de son petit nuage en se caressant dans le désordre les seins, les cheveux, le cou, la nuque et les lèvres.
Lorsqu'elle avait remarqué la belle érection que j'avais, elle s'était encore léché les lèvres.
En rampant sur le carrelage froid, elle avançait lentement, très lentement vers moi.
A hauteur de ma verge elle s'était arrêtée, l'avait prise en bouche et alors que sa langue me léchait de part en part, de petits frissons me couraient le long de l'échine.
Jouant de sa langue et de sa bouche avec gourmandise, elle montrait de la résistance à lâcher son jouet lorsque j'ai voulu la lever afin de la posséder.
Aussi, rapidement je l'avais retourné et prise avec force et passion sur le lit. Dans un mélange de corps, de morsures pour l'un et de griffures pour l'autre, de cris, de râles, nous avions
fini par jouir bruyamment lorsque dans un effort de damné je lui avais planté ma verge d'un geste brusque jusqu'au fond. Je me souviens avoir éjaculé abondamment et être ainsi allongé sur son
dos de tout mon poids pendant un temps.
Lorsque je revenais à moi, elle se tenait au-dessus, ou plutôt me tenais la verge, recommençait à me sucer et à me branler vigoureusement. Et bientôt, je bandais de nouveau.
Avec un sourire de satisfaction et un autre coup de langue sur ses lèvres, elle s'était ensuite mise debout et m'avait prié de lui tendre les bras. Moi, toujours confortablement allongé,
j'avais obéi. Nos mains fermement l'une dans l'autre, une jambe de chaque côté de mon corps, elle commençait à descendre. Et alors qu'elle s'empalait sur ma verge, m'aspirant goulument - quel
délice - m'avalant littéralement et conpressant amoureusement mes couilles de ses fesses à chaque fois que ses dernières se rencontraient dans ses mouvements de va-et-vient hystérique ; dans
mes divagations, je me souviens avoir pensé être trop vieux et avoir le coeur fragile pour ce genre de choses.
FLL*03
Par FLL
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Publié dans : Les amazones de Stella
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